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Histoire et Patrimoine Huveaune Merlançon Histoire et patrimoine des vallées de l'Huveaune et du Merlançon

Es festo au vilagi, en attendant les jours meilleurs...

Es festo au vilagi, en attendant les jours meilleurs...
Es festo au vilagi, en attendant les jours meilleurs...

Histoire des vallées de l'Huveaune et du Merlançon. Par les temps qui courent, et faute de mieux, voici une pochade de notre ami Marcel GUIGOU qui pourra, provisoirement, faire patienter nos lecteurs avides d'histoire provençale. En attendant des jours meilleurs, quand ce sera à nouveau la fête dans nos villages de pétillants... Fête champêtre au quartier de La Chapelle-Le Cabaret, commune de La Bourine détachée d'Auriol en 1880. (Carte postale tirée de l'ouvrage "Histoire de mon village La Bouilladisse" - Isidore GAUTIER-Francis PELLISSIER-René TEULLE – Juillet 1980). D'abord, une lettre Qui fut...

11 novembre. Voici 14 ans paraissait AURIOL-en-PROVENCE

11 novembre. Voici 14 ans paraissait AURIOL-en-PROVENCE
11 novembre. Voici 14 ans paraissait AURIOL-en-PROVENCE

Voici quatorze ans, le 11 novembre 2006, paraissait le tome 1 d'Auriol-en-Provence. Le blog HPHM avait été créé par Bruno Carpentier quelques mois plus tôt. L'ouvrage (ainsi que le tome 2 paru l'année suivante) est toujours en vente à l'accueil de la mairie d'Auriol, et toujours au seul bénéfice de la communauté auriolaise. Le blog HPHM a reçu le renfort d'éminents savants du Pays de la moyenne vallée de l'Huveaune (et du Merlançon !) dont notre regretté et ami Jean LE DANTEC qui dirigea en 2016 le thème La flore méditerranéenne des vallées de l'Huveaune et du Merlançon. Depuis les débuts, Marcel...

1723 : Le cas du docteur RIGAUD en vallée de l'Huveaune

1723 : Le cas du docteur RIGAUD en vallée de l'Huveaune
1723 : Le cas du docteur RIGAUD en vallée de l'Huveaune

Histoire de la vallée de l'Huveaune. "Même hors des temps de contagion, l'état de santé de ses habitants préoccupa toujours la communauté d'Auriol". Elle eut donc à cœur de tout mettre en œuvre pour engager, en le rétribuant, et chaque fois que possible, un docteur en médecine disponible et dûment "en capacité". En règle générale cela se passait au mieux des intérêts des parties prenantes. Excepté en 1723 où le cas du docteur Jean Antoine RIGAUD posa un problème. Ces instruments dentaires (clef de Garengeot et davier) auraient appartenu, pendant la Révolution, au docteur en médecine Joseph ESTIENNE,...